Marcel Pinte the six-year old who worked for the French Resistance
Alan Malcher MA
Researching Narrative Warfare through OSINT and also a Military Historian. Currently writing a book about SOE
Six-year old Marcel Pinte worked for the resistance carrying secret messages to various parts of the resistance network and his father, Eugéne Pinte (aka La Gaubertie) ran a resistance cell from their remote family farm. It was later said, with his school satchel on is back he didn’t raise suspicion as he walked passed police and German soldiers.
In August 1944 Marcel accompanied the Maquis (Resistance) to a night parachute drop of weapons and supplies and whilst waiting for the drop a member of the resistance had an accidental discharge with a Sten Gun during which Marcel was hit by several rounds and killed.?
All gun shot wounds had to be reported to the German authorities and the Maquis (resistance) used a patriotic doctor to falsify his death certificate.
Marcel was later honoured during the Armistice Day at a ceremony in Aixe-sur-Vienne, near the city of Limoges in central France.
?? Relax, refuel, refocus & ??rock wellness!
2 年Vive la Resistance!
Retraitée - Maire adjoint, conseillère communautaire - No Bitcoin, no Forex, not looking for a mate.
2 年Vidéo en fran?ais: "Aixe-sur-Vienne rend hommage à son "Petit Quinquin", résistant, mort pour la France à l'age de 6 ans" https://www.youtube.com/watch?v=Mbg0MLjUoUw
Retraitée - Maire adjoint, conseillère communautaire - No Bitcoin, no Forex, not looking for a mate.
2 年A / D Témoignage de la famille: "Les Pinte, Eugène et Paule son épouse, leurs cinq enfants, vivent au rythme des réunions clandestines au sein même de la ferme. "Un endroit dissimulé, très difficile d'accès. Les chefs de maquis, le COPA (opérations aériennes), l'Etat-major de l'ORA, tout le monde trouve bien plus pratique et discret de se réunir à la Gaubertie" qu'à Limoges.? - "Il comprenait tout" -? Dans cette ambiance où vie de famille et résistance sont étroitement mêlées, Marcel, surnommé Quinquin en raison des origines nordistes de la famille, observe, fasciné, br?lant de vouloir participer. "Au départ, il a d? prendre ?a pour un jeu. Mais il a vite compris que c'était risqué", poursuit Marc Pinte.? Il se souvient du témoignage de son père, fils du commandant Athos. "Marcel avait le contact facile avec les adultes, passait du temps avec eux dans les bois, apprend les chants des maquisards.? Tout le monde était surpris de le voir s'impliquer comme ?a. Chez les Pinte, il était impossible de dormir la nuit, il y avait des mouvements perpétuels de gens, du remue-ménage toute la nuit, un parachutiste anglais caché dans le grenier, des allers et venues incessantes, des réunions régulières. Le gamin a été naturellement
Retraitée - Maire adjoint, conseillère communautaire - No Bitcoin, no Forex, not looking for a mate.
2 年Alan Malcher 1/3 "Depuis 1941, le Commandant Pinte, dit Athos, qui ?uvre pour l’Armée Secrète et l’Organisation de Résistance de l’Armée, (ORA), organise la Résistance dans l’Ouest de la Haute-Vienne. Il commande les maquis des 5 cantons : Aixe-sur-Vienne, Cussac, Chalus, St Laurent-sur-Gorre et St Mathieu. Les cinq membres de la famille sont mobilisés. Même Marcel Pinte, le fils cadet. Il est comme ses frères et s?urs de plus en plus sollicité pour rendre des services qui sont, bien s?r, à la hauteur de son jeune age. Né à Valenciennes dans le Nord le 12 avril 1938, le petit gar?on aux yeux bleus est apprécié des maquisards qui le surnomment ? Quinquin ?, sobriquet qui fait référence à ses origines. Combien chantonnent, lorsqu’ils l’aper?oivent l‘hymne de sa région d’origine, ? le Petit Quinquin ?. Il grandit au c?ur du ? Centre de Résistance ? de La Gaubertie. Là on vit à l’heure de Londres. Tous travaillent, se retrouvent et se partagent les taches. Bien s?r les nombreux services clandestins les rejoignent et ils captent les informations des radios du Bureau Central de Renseignement et d’Action (BCRA) entretenant des liaisons quotidiennes avec , Photo non datée du jeune Marcel Pinte au c?té d'un combattant afp.com/-