Le "quiet quitting", nouvelle norme au travail?

?? “Mes heures, ce sont mes heures. Je disais beaucoup oui pour rendre service à mes collègues. Maintenant, c’est fini”, explique Sandrine*. Démotivée par le manque de reconnaissance de sa hiérarchie, cette chargée de mission RH a tout simplement “levé le pied”. “J’avais toujours trop de travail. Pourquoi faire un sprint alors que c’est un marathon? On travaille pendant 40 ans dans sa vie”, ajoute Alexandre*. Au bord du burn-out, cet ancien manager commercial a lui aussi décidé de limiter ses horaires pour se consacrer au sport et à sa famille.? ?? Une prise de recul par rapport au travail aussi appelée “quiet quitting” (démission silencieuse en fran?ais). Le phénomène n’est pas nouveau mais a été popularisé sur les réseaux sociaux par les jeunes générations. “Aujourd’hui, le travail peut facilement contaminer la vie personnelle avec les emails sur le téléphone, le travail à distance… explique la psychologue du travail Diane RAKOTONANAHARY. Cela peut engendrer beaucoup de souffrance”.? ?? Pour beaucoup, la priorité est donc de remettre des frontières entre vie professionnelle et personnelle. Un mouvement que de nombreux spécialistes des ressources humaines soutiennent. “Ne pas répondre à ses mails le week-end n'a rien d'une démarche démissionnaire!”, s’étonne ainsi la recruteuse Céline JAUNEAU. Les moins de 30 ans veulent “pouvoir avoir une vie à c?té, dans des domaines avec des valeurs et du sens auxquels ils croient”, ajoute Lo?c DOUYERE, directeur associé de l’institut RH Florian Mantione.? ?? La crise climatique et énergétique expliquerait aussi cette évolution. Quatre salariés sur dix disent ressentir un décalage entre leurs convictions personnelles et leur quotidien en entreprise, selon le dernier baromètre Imagreen/Kantar. 75% d’entre eux seraient ainsi “désengagés”.? “L’accumulation d’événements d’une ampleur inédite (...) provoque une prise conscience et transforme en grande profondeur la relation du travail aux individus”, analyse le DRH Dominique DIETRICH.? ?? Certaines entreprises se sont emparées du sujet. “Cloisonner vie pro et vie perso n'est pas la meilleure réponse, détaille ainsi Cécile Staehle, en charge des ressources humaines chez Troopers Web Republic. Nous avons plut?t pensé notre culture d'entreprise pour qu'elle permette autant que possible de concilier ces deux parties de notre vie”. Actions en faveur de la parentalité, autogestion, transparence, management à l’écoute… Autant de remèdes pour maintenir ses salariés motivés.? *Les prénoms ont été changés.? ?? Et vous, le “quiet quitting” touche-t-il votre entreprise? Participez à la discussion en commentaires. ?? Ga?lle Coursel ?? Tanaonte/Getty

Les entreprises s'étonnent du #quietquitting, après s'être étonnées de la grande démission. Mais entre le discours des entreprises et la réalité, il y a un monde mis en lumière par la crise du #Covid et les réseaux sociaux. On nous a dit pendant des années que le télétravail était impossible. Et pourtant nombreux sont ceux qui ont continué à travaillé de chez eux. à l'heure où certains sonnent la fin de la récré (Elon Musk qui rappelle tout le monde à l'usine sinon c'est dehors), les salariés se rappellent. Alors que le discours des entreprises passaient crème, on entre dans une ère de dissonance profonde. La réalité a dépassé les belles plaquettes de com. Fini d'y croire, les collaborateurs ne veulent plus collaborer. Et c'est un enjeu immense pour les entreprises. Il faut se poser la question des raisons profondes. Mais surtout, il faut se demander comment faire ? L'innovation en #recrutement doit permettre de créer des processus de recrutement optimisé pour bonifier votre marque employeur. Votre politique RH & managériale doit être cohérente avec votre marque employeur. Cassandr a pour ambition de partager avec vous les dernières innovations en matière de recrutement. Cette newsletter (lien sur la page de Cassandr) partagera des informations, des opinions, des interviews, etc. sur la thématique de l'innovation en recrutement. Parce que le quiet quitting commence par un mauvais recrutement.

????????-???? ???? ????????????????????? ???? ?????????????? ???????????????????? ???? "?????????? ????????????????/ ??????????????????? ??????????????????????" ? Le Quiet Quitting est apparu sur ???????????? ?????? ???????????-????????. Cette tendance pourrait ???????? ?????????????? ???? ??’?????????????????? ???? ????????????. Explication du phénomène ???? Après la grande démission suite au Covid, les salariés se sont posés des questions sur leur épanouissement et leur motivation professionnel. ??Ne souhaitant pas démissionner dans une période de crise, un nouveau phénomène est apparu : --> celui de ralentir son investissement et son implication au travail, de lever le pied pour se préserver : ??stop à la surcharge ??stop aux heures supplémentaires ??stop aux appels/mails au-delà des heures de travail ??stop à l'implication excessive qui n’est pas valorisée Le Covid et la généralisation des cas de burn out / bore out ont favorisé la remise en question ???? ???? ??????????? ?????????????? ???? ????????????. La recherche de sens, de bien-être, de qualité de vie au travail est au premier plan et c’est une bonne nouvelle. ?????????????? ???????? ?????? ????????????????????????? ???? ?????????? ???????????????? ???????????????? ? —> prise de conscience des entreprises sur la QVT —> mise en place d’un management plus souple et plus flexible —> prise en compte des aspirations individuelles Les entreprises vont devoir ???????????????????? ???? ????????????????????, ??’?????????????? ???? ???????????? ?????? ?????????????? ???? ??????????. Même s'il peut être éphémère, il traduit un mal-être général qu'il faut prendre au sérieux. ?????? ???????????????? ???????????? ?? ? L’équilibre vie perso / vie pro ? Le sens et la reconnaissance ? La continuité de la transformation digitale des organisations pour la mise en place du télétravail. ??????, il ne faut pas s’en inquiéter, à part pour les entreprises qui ne respectent pas les besoins de leurs salariés... ?????? ????????????-???????? ???? ???? ??????????????????? ? #emploi?#démission?#RH?#ramentafraise ??

En ce moment, on parle beaucoup du ? #quietquitting ? (ou démission silencieuse en Fran?ais) qui consiste à faire le minimum sans se faire virer ! Mais, c'est loin d'être un phénomène nouveau !? On observe depuis un certain moment déjà une certaine forme de désenchantement du travail.? Dans ma pratique professionnelle je vois trop souvent des employeurs et des salariés qui ne se comprennent pas alors qu'au départ il y a surtout un gros malentendu sur les attentes de chacun.? Or, la motivation, c’est-à-dire la volonté de se mettre à la tache au lieu de procrastiner, de persévérer malgré les distractions et d’y investir suffisamment d’énergie mentale pour l’achever,?compte pour l'essentiel des projets menés en équipe.? Parfois, les managers pensent à ce qui les motive eux, et en déduisent que cela vaut pour leurs subordonnés.?D'ailleurs on pense trop souvent uniquement sous la motivation prisme de la rémunération.? En réalité : le salaire peut être un élément de démotivation?s'il est trop bas par rapport à un marché, par rapport aux besoins du salarié ou encore par rapport à sa propre perception de sa valeur mais LE salaire n'est pas LE critère de l'engagement !? Selon une étude de Gallup, l’engagement des collaborateurs se représentent d’après 4 piliers.? ? 1. les?éléments de base?: l’environnement est sain et les conditions de travail sont adaptées. Chaque salarié sait ce qu’on attend de lui. Il a le matériel et la formation nécessaires à la réalisation de son travail.? 2. les?contributions?: est-ce que la contribution individuelle de chaque salariée est réellement reconnue ? Elle s’exprime par de l’intérêt et de l’encouragement. ? 3. le?travail en équipe et les valeurs?: comment l’équipe interagit ? La mission de l’entreprise doit correspondre au collaborateur et à ses valeurs. Le travail effectué prend ainsi plus de sens. 4. la?progression?et les perspective : peut-on évoluer dans son travail ? A-t-on eu l’opportunité d’apprendre, de progresser et de grandir ? Est-ce que les progrès et les capacités d’évolution sont régulièrement évoqués ?? Phénomène nouveau ou non ? N'hésitez pas à partager votre avis en commentaires.? #Motivation #Formation #Travail #InspironsNous #engagement #RH

Quiet Quitting, terme “à la mode” sur TikTok . Donc qui mécaniquement débarque quelques semaines plus tard sur LinkedIn. Car, oui, TikTok est devenu l’antichambre des tendances de LinkedIn. Et d’Instagram. Et de Twitter. Et des médias mainstream. Et de la Presse. Mais peut-on parler de tendances informationnelles, quand il s’agit de parler de comportements de masse ? Toujours pour simplifier, peut-on parler de téléréalité, alors qu’il s’agit de sociologie ? Bien s?r que non. J'ai lu quelque part la semaine dernière : "le quiet quitting, ce nouveau fléau de l'entreprise". Je rigole. Et la fait courte. "Le collaborateur reste fonctionnel et capable d’accomplir ses taches, mais il se contente de faire ce qui est écrit dans sa fiche de poste". Mais quelle horreur !!! Un salarié qui fait ce pourquoi il a été recruté !?! C'est inadmissible !!! Au départ, quand j’ai vu passer ?a, j’ai cru que c’était un titre du Gorafi ????♂? Mais en fait non ! Il y vraiment des patrons, des dirigeants, des économistes, et des journalistes spécialisés qui s’émeuvent du fait qu’un salarié ne fasse que ce pourquoi il a été recruté ! Alors je vais citer une presse reconnue en la matière, Harvard Business Review : ?? "?????????? ???????????????? ???? ?????????? ?????? ????????????, ?????? ?????? ??????????????????" Le Quiet Quitting vous pose un problème ? Anticipez, définissez clairement les objectifs de chacun, et les fiches de poste ad-hoc, et remplissez les trous par des recrutements ou des prestataires. Oui, R E C R U T E Z !!! Anticiper devrait être votre quotidien, non ? Le paradigme a changé. Soyez en conscient. Le temps est fini des boomers qui se tuaient à la tache sans savoir pourquoi. Maintenant, vous recrutez des Bac+5 pour faire de l’emailing, ne soyez pas étonnés s’ils n’attendent pas 40 ans pour réfléchir à leur place dans l’entreprise ! Et dans la société… Avant, les salariés n’avaient accès ni à l’information, ni au savoir. Leur esprit critique était bridé par les dettes contractées pour lancer leur famille : maison, enfants, voiture, crédits… La société capitaliste dans laquelle nous vivons à commis plusieurs erreurs : ??? Le crédit est quasi inaccessible aux jeunes = pas de fil à la patte ??? Les CDI sont inatteignables = suradaptation aux contrats précaires ??? L’accès à l’emploi ne laisse passer que les plus dipl?més = surdiplomés ??? L’immobilier est hors de prix = ils développent des skills nomades ??? Le lien de subordination repose majoritairement sur l’ignorance des salariés = surinformation ??? Leurs parents ramaient pour être informés = ils suivent des thérapies pour l’être moins L’entreprise n’a pas retenu les le?ons de Darwin. C’est celui qui s’adapte le plus vite qui survit. Pour l’instant, ce sont les jeunes. -- Et n'oubliez pas d'activer "la ?? cloche" sur mon profil, pour recevoir une alerte lors de mes prochaines publications ?? #RessourcesHumaines #Management #LinkedInForCreators LinkedIn for Creators

??????Quiet quitting, quiet firing, big quiet, burn out, brown out, etc etc ! Halte au feu ! Nous sommes en train de développer une génération d’hypocondriaques du travail! Et c’est grave car cela ajoute de l’angoisse à l’angoisse et banalise les vraies souffrances. Tant pis si je vais à contre-courant, mais je sonne l’alerte ! ??On observe ces derniers mois une multiplication de termes sans aucun appui scientifique, créés dans l’urgence, dans une course folle à la surenchère tiktokienne, instagrameuse ou twittrienne … Des termes censés désignés des syndromes (c’est-à-dire un ensemble de sympt?mes) vécus dans la sphère professionnelle. ??Je ne nie pas le malaise que peuvent vivre actuellement de nombreux salariés, je ne sous-estime pas les souffrances que peuvent provoquer un management harceleur, trop autoritaire. Je suis la première à appeler les managers à une meilleure reconnaissance de leurs collaborateurs. Mais il me semble que nous filons un très mauvais coton en voulant ainsi nommer la moindre faille, la plus petite faiblesse, la première difficulté … ??Le processus ? Facile : en m’auscultant ou en observant de près quelques collègues, je repère ce qui va mal, avec un peu d’imagination, je m’empresse de le nommer avec la puissance des expressions anglo-saxonnes, je le mets en scène dans les réseaux sociaux. Avec un peu de chance, le grand tam tam médiatique se met en route, repris en boucle par les media qui cherchent inlassablement du contenu. La généralisation se met en place , et tout un chacun, en cherchant un peu, trouve une explication à ses propres difficultés du moment. ??Il est vrai que c’est un réel réconfort de pouvoir poser un nom sur un ressenti, et se dire qu’on n’est pas le seul ! Je ne réponds pas à mes mails le dimanche soir : je fais du quiet quitting ! Je suis fatigué par des semaines un peu speed : je fr?le le burnout ! Je m’ennuie dans mon travail : c’est du brown out ! Il y en a pour tous les go?ts ! ??Le vrai danger, c’est que n’est pas en multipliant les syndromes ou les phénomènes décrivant les problèmes rencontrés dans la vie au travail qu’on va aider ceux qui en souffrent réellement. Au contraire, on édulcore les VRAIES souffrances, on les banalise, et ?a, c’est une lourde responsabilité. Les docteurs Knock du mal être au travail se frottent les mains ! On rejoue de mauvaise fa?on la célèbre pièce de Jules Romain écrite en 1923 ?Knock ou le Triomphe de la Médecine? où un ancien voyou se faisant passer pour un médecin, le docteur Knock faisait croire à tous les habitants d’un village qu’ils étaient malades car ?Tout homme bien portant est un malade qui s'ignore?! ??Oui, évidemment, il y a toujours quelque chose qui nous gratouille ou qui nous chatouille si nous cherchons bien. Mais ne devenons pas des hypocondriaques du travail ! Ce qui ajouterait de l’angoisse à l’angoisse, de la peur à la peur ! Est-ce bien nécessaire ? Sérieusement ? #travail #bigquieting #burnout #quietquiting #souffranceautravail

Popularisée sur les réseaux sociaux, la tendance du #quietquitting amène certains salariés - souvent désenchantés - à remettre en cause leur investissement au #travail. Sans revalorisation salariale ou évolution de leurs missions, ils racontent à L'Express pourquoi ils ont choisi de faire une croix sur les heures supplémentaires, les réponses aux mails le week-end ou l’engagement personnel au sein de leurs équipes. Car au-delà de la simple tendance et du buzz médiatique autour de ce concept, la notion de #démissionsilencieuse dit en réalité beaucoup de nos nouveaux rapports à l’entreprise : plus qu’un simple refus du travail, il s’agirait plut?t d’une “nouvelle forme de résistance” face à certaines conditions de travail. "Le quiet quitting n'est qu'une démonstration de plus d'un certain désenchantement des salariés vis-à-vis des promesses non tenues de l'entreprise, en termes d'émancipation, de reconnaissance et de bien-être", explique à L’Express Christophe Nguyen, psychologue du travail. Une analyse à retrouver ici :

?Ce phénomène touche de plus en plus d’entreprises…? Il s’agit des démissions silencieuses?? ?? De quoi s’agit-il?? La démission silencieuse ne signifie pas qu'un employé a quitté son emploi, mais qu'il a limité ses taches à celles qui relèvent strictement de sa description de poste pour éviter de travailler de longues heures. Ils veulent faire le strict minimum pour accomplir leur travail et fixer des limites claires pour améliorer l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Ces employés remplissent toujours leurs fonctions, mais ne souscrivent pas à la culture "le travail, c'est la vie" pour orienter leur carrière et se distinguer auprès de leurs supérieurs. Ils s'en tiennent à ce qui figure dans leur description de poste et, lorsqu'ils rentrent chez eux, ils laissent le travail derrière eux pour se concentrer sur des taches et des activités non professionnelles. Quels sont les signes?? Les signes peuvent prendre diverses formes, en fonction des raisons pour lesquelles l'employé souhaite se retirer du travail. Si un employé est vraiment malheureux, les signes peuvent être beaucoup plus visibles que pour quelqu'un qui souhaite simplement un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Voici les signes les plus fréquents?: ne pas assister aux réunions ; ?? arriver en retard ou partir t?t ; ?? réduction de la productivité?? moins de contribution aux projets de l'équipe ?? manque de passion ou d'enthousiasme. ?? manque de motivation?? Comment les entreprises peuvent elles aider les employés ? ? Le meilleur moyen de prévenir le désengagement est d'améliorer l'expérience des employés. Parlez aux employés, recueillez leurs commentaires et discutez de ce qui peut être fait pour qu'ils se sentent appréciés. Cela peut être aussi simple que des mots d'encouragement réguliers. ? Ensuite, assurez vous que la charge de travail est réaliste et qu'il existe des limites appropriées pour maintenir un équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Il est important de vérifier auprès des employés que ces limites sont claires et qu'elles contribuent à établir une relation ouverte et honnête. ? Aidez les employés à gérer le stress et veillez à faire de la santé mentale une priorité absolue. Les entreprises doivent encourager leurs employés à s'occuper de leur bien-être par le biais d'une sensibilisation au bien-être numérique ou de contr?les réguliers moins formels. Les entreprises doivent fixer des limites au travail et les respecter pour créer une culture d'entreprise positive. ? Parlez à l'employé de son parcours professionnel et trouvez des moyens de l'aider à atteindre ses objectifs ultimes grace à des taches claires et réalisables. Il n'y aura aucun changement dans les départs silencieux si les entreprises n'aident pas les employés à se sentir valorisés et à apprendre à gérer des attentes réalistes. #entreprise #travail #demission

Ce mois de septembre 2022 marque la première rentrée ? normale ? après deux années marquées par la #Covid : enfin ! Après ce tsunami qui a, entre autres, révolutionné le monde du #travail, les défis ne manquent pas pour la reprise. De nouvelles inquiétudes, qu’accompagnent de nouveaux concepts, sont désormais sur toutes les lèvres : grande démission, quiet quitting, jeune génération de ? slashers ?, etc. Mais qu’en est-il réellement ? Autant de sujets que j'ai souhaité aborder dans cette tribune de rentrée : au plaisir de lire vos commentaires !

?????? ??Quiet Quitting?? ou la fin de l’engagement au travail?? ? 500?000 démissions en France au 1er trimestre 2022?! en plus de cette vague de départs , on assiste à une autre tendance plus silencieuse mais lourde de sens?: le ??Quiet Quitting?? ou la démission silencieuse. On fait son job et rien que son job. On évite de s’impliquer. Si cela sort un tant soit peu de la fiche de poste , le manager s’entend répondre?: ??je préfère ne pas …?? ou ???ce n’est pas dans ma fiche de poste??…?etc. Assiste-t-on à la fin de l’engagement au travail ?et un changement du rapport de force entre salariés et employeurs?? Je ne le pense pas ???? l'envie de bien effectuer son travail et le besoin d'être fier de ses réalisations sont toujours présents ?(y compris chez la génération Z ). Par contre l'urgence de redéfinir le ?sens?, le cadre et les règles sont clairement exprimés par toutes les générations actives. ???????Nous ne devons pas nier cette ??démission silencieuse?? ?mais au contraire agir bien et vite ?pour retenir , pour attirer ?les talents ?afin d’assurer la pérennité et le développement de nos #entreprises?! Et votre avis ? # RH #QVT #PerformanceHumaine #Performancecollective #Motivation #Management #quiet Quitting #Formation #Motivationdesequipes #Cohésion. ? Ref?: https://lnkd.in/e-jvXnYX https://lnkd.in/eqEumfVm